Projet MANONGA

Pour les journalistes de la presse écrite, Facebook est une source d’inspiration, un système d’alerte. D’ailleurs, il est conseillé par les rédacteurs en chef et les directeurs de publication d’être toujours connectés pour voir l’évolution des interactions. Lors du brunch de presse, un des journalistes a fait part du fait qu’il ne se sentait pas en sécurité durant la période de crise sanitaire. Les responsables envoyaient des journalistes sur terrain pour avoir plus de détails sur un fait ou un évènement ; alors qu’ils ne sont même pas équipés de kits sanitaires (gel hydroalcoolique, gants, etc.). En outre, les journalistes ont demandé aux membres du CID s’ils peuvent faire des pré-rapports ou émettre des propositions d’articles ou aussi des angles de traitement pour des sujets d’intérêt public afin d’aider davantage les journalistes.

Forum régional sur les initiatives de la société   le 06-12-2022

L'ONG COMMUNICATION IDEA DEVELOPMENT a fait partie de la trentaine d' organisations de la société civile africaines ayant participé au Forum régional sur les initiatives de la société civile en matière de suivi des recommandations électorales. L'évenement s'est tenu à Abidjan les 6 et 7 décembre 2022. Il s'agit d'un programme mis en œuvre par EISA ou Institut électoral pour une Démocratie durable en Afrique avec le financement de l 'USAID.

Une YLTPienne au sein de l'ONG Communication Idea   le 25-11-2022

La cérémonie officielle de sortie de la 18ème promotion du Youth Leadership Training Program (YLTP) s'est déroulée le 25 novembre dernier au Carlton. Christian Ntsay, Premier ministre, et non moins parrain de la promotion, a honoré l'événement de sa présence. Manitra Ala Ratsimbazafy, un des membres fondateurs de l'ONG, a eu le privilège de représenter toute sa promotion lors du discours de remerciements. C'est avec beaucoup de fierté que toute l'équipe lui adresse ses félicitations.

BRUNCH PRESS à l’occasion du projet MANONGA  le 29-10-2020

Le jeudi 29 octobre 2020, l’ONG CID a présenté aux professionnels de l’information les résultats préliminaires des activités de monitoring qu’elle a réalisées dans le cadre du projet « Manonga ». Ce fut également une occasion pour faire des échanges sur les vécus et les expériences durant la période de crise sanitaire, notamment durant le confinement. 4 entreprises de presse ont répondu présentes à l’invitation du CID pour un petit déjeuner de presse, à savoir les quotidiens La Vérité et La Gazette de la Grande Ile ainsi que la Radio RDJ et la Radio nationale. Lors de sa présentation, la Coordinatrice du projet Manonga, Mirana Razafindrazaka a fait savoir que durant les mois de mars à août 2020, la restitution quotidienne du bilan de la propagation du coronavirus était la principale information sur la gestion de crise sanitaire diffusée par les journalistes. Il a été constaté qu’il n’y a pas eu beaucoup d’articles d’analyse durant cette période. La plupart des journaux étant favorables au pouvoir en place, cela a donné beaucoup de visibilité aux dirigeants. Concernant les informations virtuelles, les citoyens obtenaient plus d’informations à travers les réseaux sociaux, notamment Facebook. Le souci est que ces informations ont été partagées par de simples internautes et non par des journalistes, ce qui signifie qu’elles n’ont pas été nécessairement recoupées ou vérifiées. Les activités effectuées durant ces trois premiers mois d’analyse ont permis d’identifier que 28% des quelque 500 publications Facebook analysées ont parlé de foyers de tension, 35% traitaient de la gestion de la crise sanitaire, 10% étaient sur l’administration publique, entre autres au sujet de la demande de transparence sur la gestion des fonds alloués à la lutte contre le Covid-19. Selon les explications de la journaliste de La Vérité, concernant le manque de source et d’analyse, le fait est que le Pr Hanta Marie Danielle Vololontiana, Porte-Parole du Centre de commandement opérationnel de lutte contre le Covid-19 a été la seule source officielle pour tout ce qui est information sur le Covid-19. De plus, les mesures sanitaires n’ont pas permis aux professionnels de l’information de collecter et recouper des informations sur le terrain. En conséquence, les informations et les sources n’ont pas été diversifiées. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que les médias ont été réquisitionnés durant la crise sanitaire, et il y a eu aussi la mise en garde par rapport à la cybercriminalité. Du coup, les citoyens n’ont pas osé donner des informations. Certains groupes de discussion ont changé de nom ou de statut, il y en a même ceux qui ont été supprimés (ex : Fanaovan-gazety sy ny tontolony). Selon les témoignages des journalistes, l’accès aux sources étaient un gros problème. Même si les journalistes avaient des informations complémentaires sur un sujet, la plupart d’entre eux redoutaient les interpellations de la part des patrons de presse ou du ministère de tutelle. Un des journalistes a évoqué les faits lors du premier décès lié au covid. Il a fait des recoupements auprès d’autres sources, autres que les officielles, mais il n’a pas eu le droit de tout publier. Même chose lors du premier cas positif identifié. Du coup, les journalistes ne savaient plus quoi publier. Pour le cas de La Vérité, le journal est pro régime, et les articles doivent se conformer donc à la ligne éditoriale basée sur cette tendance. Les journalistes, s’ils souhaitent publier sur la distribution d’aides par exemple, ils doivent le faire de manière positive. Durant la période de crise sanitaire, l’entreprise a connu une chute au niveau de la vente : « On est parti de 60% à 25% ». Comme il s’agit d’une entreprise, il faut qu’elle arrive à tourner. On essaie d’arranger les choses en ce moment, on va miser sur les informations de proximité. Pour le cas de La Gazette de la Grande Ile, ils ont quand même publié des articles d’analyse. Le journal publie des informations données par des sources officieuses si les faits et les évènements ont vraiment eu lieu. Il arrive aux journalistes de La Gazette de la Grande Ile d’approcher des sources officielles tout en respectant l’anonymat de ces personnes dans les publications. Les revues de presse quotidiennes du projet MANONGA ont contribué à pallier au problème de sources d’informations et de manque de sujet, en ce sens que les informations qui y ont été contenues pouvaient être citées ou faire l’objet de sujet d’article.Pour les journalistes de la presse écrite, Facebook est une source d’inspiration, un système d’alerte. D’ailleurs, il est conseillé par les rédacteurs en chef et les directeurs de publication d’être toujours connectés pour voir l’évolution des interactions. Lors du brunch de presse, un des journalistes a fait part du fait qu’il ne se sentait pas en sécurité durant la période de crise sanitaire. Les responsables envoyaient des journalistes sur terrain pour avoir plus de détails sur un fait ou un évènement ; alors qu’ils ne sont même pas équipés de kits sanitaires (gel hydroalcoolique, gants, etc.). En outre, les journalistes ont demandé aux membres du CID s’ils peuvent faire des pré-rapports ou émettre des propositions d’articles ou aussi des angles de traitement pour des sujets d’intérêt public afin d’aider davantage les journalistes.

Lancement CID  le 28-10-2016

L’ONG Communication Idea Development (C.I.D) ou « Hay Serasera Manonga Dia » procède à son lancement officiel le 28 octobre 2016. Cet évènement sera une occasion pour présenter l’équipe multidisciplinaire qui la constitue, composée de jeunes communicateurs, les valeurs qui les fédèrent ainsi que les missions auxquelles se destine la structure. L’ONG CID est animée par la volonté de contribuer activement au renforcement du processus de démocratisation, au maintien d’un climat apaisé à Madagascar et à la professionnalisation des métiers de l’information. Pour ce faire, elle s’est fixée deux principales missions, à savoir le développement des médias et la promotion de la participation citoyenne. Le développement des métiers de l’information et de l’environnement médiatique en général, consiste principalement à appuyer les différents acteurs des médias pour qu’ils (1) contribuent à l’amélioration d’un environnement favorable à l’épanouissement des Droits de l’Homme, notamment du droit à l’information et de l’égalité des genres, (2) soient un acteur de paix sociale mais également (3) de la crédibilité et de la transparence du processus électoral. Quant à la promotion de la participation citoyenne, elle vise à favoriser la délibération citoyenne et stimuler l’intérêt des citoyens pour des questions d’intérêt public, en particulier au niveau des jeunes. A cet effet, une attention particulière est portée sur les questions de redevabilité. L’ONG CID est l’aboutissement de l’autonomisation de l’Unité de monitoring des médias ou UMM, ayant géré les activités de suivi et d’analyses des contenus médiatiques mais également d’observations de la vie des médias, durant les projets PACTE et INCIPALS. Par conséquent, il est évident que son expertise repose principalement sur le monitoring des médias, qui constituera d’ailleurs la base de ses actions. En clair, les actions en vue de la professionnalisation des médias reposent sur 3 principaux volets, à savoir le processus électoral, la consolidation de la paix sociale et du processus démocratique ainsi que l’égalité du genre et les Droits fondamentaux. Pour l’ONG CID, la professionnalisation des médias réside également dans l’autorégulation et le respect des standards internationaux. Pour ce qui est des actions rentrant dans le cadre de la promotion de la participation citoyenne, elles se feront principalement à travers le média Internet et en particulier les médias sociaux, notamment via une plateforme d’échanges et de débat dénommée Talilisoa.L’ONG Communication Idea Development (C.I.D) ou « Hay Serasera Manonga Dia » procède à son lancement officiel le 28 octobre 2016. Cet évènement sera une occasion pour présenter l’équipe multidisciplinaire qui la constitue, composée de jeunes communicateurs, les valeurs qui les fédèrent ainsi que les missions auxquelles se destine la structure. L’ONG CID est animée par la volonté de contribuer activement au renforcement du processus de démocratisation, au maintien d’un climat apaisé à Madagascar et à la professionnalisation des métiers de l’information. Pour ce faire, elle s’est fixée deux principales missions, à savoir le développement des médias et la promotion de la participation citoyenne. Le développement des métiers de l’information et de l’environnement médiatique en général, consiste principalement à appuyer les différents acteurs des médias pour qu’ils (1) contribuent à l’amélioration d’un environnement favorable à l’épanouissement des Droits de l’Homme, notamment du droit à l’information et de l’égalité des genres, (2) soient un acteur de paix sociale mais également (3) de la crédibilité et de la transparence du processus électoral. Quant à la promotion de la participation citoyenne, elle vise à favoriser la délibération citoyenne et stimuler l’intérêt des citoyens pour des questions d’intérêt public, en particulier au niveau des jeunes. A cet effet, une attention particulière est portée sur les questions de redevabilité. L’ONG CID est l’aboutissement de l’autonomisation de l’Unité de monitoring des médias ou UMM, ayant géré les activités de suivi et d’analyses des contenus médiatiques mais également d’observations de la vie des médias, durant les projets PACTE et INCIPALS. Par conséquent, il est évident que son expertise repose principalement sur le monitoring des médias, qui constituera d’ailleurs la base de ses actions. En clair, les actions en vue de la professionnalisation des médias reposent sur 3 principaux volets, à savoir le processus électoral, la consolidation de la paix sociale et du processus démocratique ainsi que l’égalité du genre et les Droits fondamentaux. Pour l’ONG CID, la professionnalisation des médias réside également dans l’autorégulation et le respect des standards internationaux. Pour ce qui est des actions rentrant dans le cadre de la promotion de la participation citoyenne, elles se feront principalement à travers le média Internet et en particulier les médias sociaux, notamment via une plateforme d’échanges et de débat dénommée Talilisoa.